« Les nations sont fondamentalement méchantes mais il y a des hommes de grande valeur chez elles, Israël est fondamentalement bon mais il y a des crapules en son sein ! »
la création de l’Etat d’ Israël a été votée par l’ONU , et le lendemain ,
7 armées arabes entraient en guerre contre lui .
ceci est un incontournable !
Il y a aujourd'hui plus d'un million de Palestiniens citoyens de l'Etat d'Israël. C'est une preuve supplémentaire qu'ils n'ont pas été entraînés vers l'exil. jenne connais pas d'Arabes citoyen d'israël qui se plaigne de mal vivre en israël. Plus d'un million d'Arabes jouissent de tous les droits du citoyen. Il y avait, fin 2001, un ministre arabe au gouvernement, Salah Tarif, ainsi que 13 députés au Parlement.
Il est remarquable qu'après plus de 50 ans d'hostilité génocidaire, il n'y ait aucun " apartheid " et que les Arabes israéliens puissent résider n'importe où, accéder à tous les services publics et exercer toutes les professions.
A part les Druzes, les Arabes israéliens ne servent pas dans l'armée où ils seraient en porte-à-faux par rapport à leurs frères palestiniens.
Même les pays arabes ne veulent pas des palestiniens. Les réfugiés palestiniens vivent dans des camps misérables en Egypte, Syrie, au Liban et dans les pays du Golfe. Seule la Jordanie leur a accordé nationalité et égalité de traitement. L'exigence d'un soi-disant " droit au retour " de 3,5 millions de réfugiés palestiniens à l'intérieur d'Israël est une manière de tuer l'Etat d'Israël par l'arme démographique, alors qu'Israel en a déjà accueilli 1 million.
la Palestine??
LES 16 QUESTIONS QUI TUENT SUR L’HISTOIRE DE LA « PALESTINE »
27 août 2013, 18:06
Si vous êtes si sûr que l’existence de la « Palestine » remonte très loin dans l’Histoire, je suppose que vous serez capable de répondre aux questions qui suivent sur ce pays, la « Palestine » :
1) Quand a-t-elle été fondée, et par qui?
2) Quelles étaient ses frontières?
3) Quelle était sa capitale?
4) Quelles étaient ses principales villes?
5) Qu’est-ce qui constituait la base de son économie?
6) Quelle était la forme de son gouvernement?
7) Pouvez-vous nommer un dirigeant palestinien avant Arafat?
8) La Palestine a-t-elle déjà été reconnue par un pays don’t l’existence, à l’époque ou aujourd’hui, ne laisserait aucune place à l’interprétation?
9) Quelle était la langue de la Palestine?
10) Quelle était la religion dominante en Palestine?
11) Quel était le nom de sa monnaie? Choisissez une date dans l’Histoire, et citez le taux de change à cette date de la monnaie palestinienne contre le dollar US, le mark allemand, la livre britannique, le yen japonais ou le yuan chinois.
12) Quels objets archéologiques les Palestiniens ont-ils laissés?
13) Connaissez-vous une librairie où l’on pourrait trouver une œuvre littéraire palestinienne produite avant 1967?
14) Enfin, puisqu’un tel pays n’existe plus, quelle a été la cause de sa disparition, et quand a-t-il disparu?
15) Puisque vous déplorez la « disparition programmée » de cette nation autrefois « fière », pourriez-vous dire quand, exactement, cette « nation » a été fière, et de quoi elle était fière?
16) Et maintenant, la moins sarcastique de toutes les questions : si cette population que vous appelez par erreur « palestinienne » n’est pas seulement constituée d’Arabes génériques mais en grande partie d’Arabes provenant – ou plutôt expulsés – du monde arabe alentour, si elle possède vraiment une identité ethnique qui lui donnerait un droit à l’autodétermination, pourquoi n’a-t-elle jamais essayé d’accéder à l’indépendance avant qu’Israël n’inflige aux Arabes une défaite cuisante lors de la guerre des Six-jours?
J’espère que vous éviterez la tentation d’invoquer un lien entre les « Palestiniens » actuels et les Philistins de la Bible : substituer l’étymologie à l’Histoire ne saurait être de mise.
La vérité devrait être évidente pour qui veut la connaître. Les Arabes n’ont jamais abandonné le rêve de détruire Israël : ils continuent de le chérir. N’ayant pu détruire Israël par la force militaire, ils tentent aujourd’hui de le faire par procuration. À cette fin, ils ont créé une organisation terroriste qu’ils ont appelée non sans cynisme le « peuple palestinien » et qu’ils ont installée à Gaza, en Judée et en Samarie. Autrement, comment expliquez-vous le refus inconditionnel par la Jordanie et l’Égypte, après la guerre des Six-jours, d’accepter de reprendre l’une la « Cisjordanie » et l’autre Gaza?
Le fait est là, la population arabe de Gaza, de Judée et de Samarie est bien moins fondée à revendiquer un statut national que la tribu d’Indiens américains qui s’est rassemblée avec succès dans le Connecticut pour y créer un casino détaxé : au moins cette tribu était-elle motivée par un but constructif. Les soi-disant « Palestiniens », eux, n’ont qu’une motivation : la destruction d’Israël, et de mon point de vue, cela ne saurait suffire à faire d’eux une nation – ni rien d’autre à l’exception de ce qu’ils sont vraiment : une organisation terroriste qui finira par être démantelée.
En vérité, il n’existe qu’un moyen de parvenir à la paix au Proche-Orient. Il faut que les pays arabes reconnaissent et acceptent leur défaite dans leur guerre contre Israël, et, en tant que perdants, qu’ils versent à Israël des réparations pour les dégâts qu’ils lui ont causés depuis plus de cinquante ans. La forme de réparation la plus appropriée consisterait à éliminer leur organisation terroriste de la terre d’Israël et à reconnaître l’antique souveraineté d’Israël sur Gaza, la Judée et la Samarie.
Ce serait la fin du peuple palestinien. Vous disiez qu’il vient d’où, déjà?
l'Etat palestinien du Plan de Partage de l'ONU 1947 a été refusé par les Arabes. l'Etat palestinien aurait regroupé la majorité des Arabes et les meilleures terres de Samarie et de Galilée, ainsi qu'un accès illimité à la zone internationale de Jérusalem.
De plus, les Arabes avaient déjà réussi en 1920 à extraire la Jordanie du territoire prévu pour le Foyer national juif, contrairement aux promesses britanniques contenues dans la Déclaration Balfour de 1917.
Il n'était attribué à Israël qu'un minuscule bout de terre de moins de 15'000km2, soit la région désertique du Néguev, ainsi que des terres déjà achetées par les pionniers juifs : une mince bande autour de Tel-Aviv et quelques régions marécageuses autour de Tibériade.